France – Mercredi 15/07/2020 – energiesdelamer. Barbara Pompili à la tête du ministère de la Transition écologique mettra en œuvre les politiques relatives à l’écologie, la politique environnementale, la biodiversité et l’énergie. Le premier ministre, a obtenu ce mercredi la confiance des députés à l’issue de son discours de politique générale. Il a présenté ses mesures pour faire repartir l’économie. Jean Castex a annoncé 40 milliards d’euros pour l’industrie et 20 milliards d’euros pour la croissance écologique. C’est une transition écologique qui doit passer par une transformation de l’appareil productif et par les territoires.

MISSION GÉNÉRALE

Le ministère de la Transition écologique a pour mission générale de préparer et mettre en œuvre la politique du Gouvernement dans tous les domaines liés à l’écologie, la transition énergétique et à la protection de la biodiversité.

La particularité de ce ministère est qu’il dispose d’un réseau de 12 écoles, dont cinq écoles d’ingénieurs, qui constituent des établissements publics sous tutelle. L’École nationale des Ponts et Chaussées (ENPC) et l’École nationale de l’aviation civile (ENAC) font par exemple partie de ce réseau des écoles supérieures du développement durable.

En 2017, le budget du ministère de la Transition écologique s’élève à 35 milliards d’euros, dont plus de 14 milliards consacrés à la transition énergétique.

COMPÉTENCES PRINCIPALES

Les compétences principales du ministère de la Transition écologique incluent, entre autres, la préparation et la mise en œuvre des politiques du Gouvernement dans les domaines suivants:

  • développement durable;
  • environnement, notamment protection et valorisation de la nature et de la biodiversité ;
  • technologies vertes ;
  • transition énergétique et énergie, notamment en matière tarifaire ;
  • climat ;
  • prévention des risques naturels et technologiques ;
  • sécurité industrielle;
  • transports et leurs infrastructures ;
  • équipement et la mer;
  • lutte contre le réchauffement climatique et la pollution atmosphérique;
  • gestion durable des ressources rares.

ORGANISATION

Le ministère est composé de six directions qui regroupent les expertises des différents sujets dont il a la charge. Il dispose également d’une structure interministérielle, le Secrétariat général de la mer, qui assure la cohérence des politiques maritimes.

Conseil général de l’environnement et du développement durable (CGEDD) est placé sous l’autorité directe du ministre, pour participer à la conception, au suivi de la mise en œuvre et à l’évaluation des politiques publiques dont le ministère a la charge.

Le Commissariat Général au Développement durable (CGDD) est une structure transversale qui produit des données sur l’action du ministère, sur l’ensemble de ses attributions.


Publicités Google :