France –     /02/2022 – energiesdelamer.eu. Cette semaine, du 9 au 11 février, se tient à Brest leur premier « One Ocean Summit » qui réunira scientifiques, acteurs publics et privés, décideurs politiques. Une petite COP de l’océan organisée dans le cadre de la présidence française de l’Union. Objectif, mettre en place une gouvernance globale pour l’océan en moins d’un an !. Les enjeux sont importants – energiesdelamer.eu et MerVeille Energie sont en première ligne pour cette rencontre internationale et traitera chaque jour un thème en lien avec les sciences, les formations ….

A événement international important, programmation inédite ! selon Brest métropole. En accueillant le premier sommet mondial de l’océan, du 9 au 11 février, dont l’organisation a été confiée à Olivier Poivre d’Arvor, Ambassadeur des pôles, le territoire métropolitain souhaite que le grand public puisse participer au rendez-vous. Brest métropole présidée par François Cuillandre, maire de Brest, et ses partenaires proposent un programme d’animations qui permettront de partager au mieux les enjeux abordés durant le sommet.

Les « à côtés » pour tous les publics au programme

10 février – 11h – Blue education : Plateau télévisé organisé par Brest Métropole et le Campus Mondial de la Mer avec Anne Le Page directrice de l’association professionnelle d’orientation et de formation La Touline, Marc Boeuf  responsable du Développement du CINAV (Campus des industries Navales) et Riwalenn Ruault, ingénieure d’études en charge de Formations innovantes du LabexMer au sein de l’IUEM-Université de Bretagne Occidentale, Frédéric Renaudeau Pole mer Bretagne Atlantique. La table ronde d’une durée de 30′ sera modérée par Jean Louis Le Corvoisier. Le lien pour le Live TV

Océanopolis : du 8 au 11 février, le centre de culture scientifique dédié à l’océan propose des conférences, des tables rondes ou encore des espaces jeune public. De nombreuses activités rassemblent des experts du monde entier, comme Jean-Louis Etienne ou Jean-Loup Chrétien. Dans les jardins durant les heures d’ouverture du parc (9 h 30 –  18 heures), une exposition de photos d’étudiants des universités marines françaises et québécoises de l’Institut France Québec maritime.

Moulin Blanc et gare de Brest : une exposition intitulée “Amer” dévoile huit reportages effectués au Gabon, au Sénégal ou encore en Alaska, qui révèlent les ravages causés par l’homme sur les océans (pollution plastique, surpêche…).

Marine nationale La Garonne : des visites à bord du bâtiment La Garonne, construite à Concarneau, amarrée à l’éperon 3 du port de commerce, et des rencontres avec des scientifiques et des marins, pour l’événement One ocean : Invisible life . Visite seulement sur inscription sur: https://my.weezevent.com/one-ocean-invisible-life

Musée national de la Marine : visites théâtralisées (les 8 et 10 février, à 18 h 30) autour d’événements qui ont fait l’histoire maritime de Brest, et toujours “400 ans d’histoire maritime à Brest”, l’exposition permanente de l’établissement.

L’UBO – Université de Bretagne Occidentale s’est mise  aussi à l’heure océane avec des débats radiophoniques animés par des étudiants et chercheurs de l’UBO, qui mettront les principaux thèmes du sommet à la Une (du 7 au 10 février du 17 heures à 18 heures sur Radio U, 101.1 FM). Deux projections à noter également : le moyen métrage Pour l’éternité, à la faculté Ségalen (mardi 8 février à 20 heures), et le documentaire Sonic Sea, le 9 février à 20 heures, à la faculté Ségalen.

 

 

Sans oublier, qu’un contre-sommet s’est tenu dans la cité du Ponant, du vendredi 4 au dimanche 6 février, organisé par le collectif de lutte citoyenne «Soulèvements de la Mer». Les interventions sont disponibles en podcast. Toujours intéressant d’écouter !

 

Pour se déplacer : la “Ligne bleue” de Bibus navigue gratuitement vers le musée national de la Marine, le Moulin Blanc, Océanopolis…

POINTS DE REPÈRE

Bon à savoir, en lien avec la conférence « Blue education » une étude du Labo de l’ESS, think tank qui construit par un travail collaboratif des axes structurants de l’économie sociale et solidaire à partir d’initiatives concrètes issues du territoire a été publiée en septembre 2021.

Les secteurs maritimes représentent déjà 360 000 emplois directs à ce jour, et devraient suivre une croissance importante d’ici 20301. S’appuyer sur l’ESS représente l’opportunité pour ces différents secteurs d’être porteurs d’innovations et d’un développement économique privilégiant l’utilité sociale et environnementale au service de leur territoire commun.

« L’un des grands mérites de cette étude « Pour une économie de la mer durable et solidaire » est d’avoir révélé la grande diversité des initiatives prises dans ce domaine sur les littoraux métropolitains, rendant ainsi visible des actions peu connues des acteurs et élus locaux. Elle permet également de dresser des perspectives pour encourager et développer des opérations innovantes privilégiant l’utilité sociale et environnementale au service de ce territoire commun et partagé que constitue la Mer » extrait de la préface rédigée par Louis Brigand (professeur et chercheur à l’IUEM-UBO), direction éditoriale : Marie Vernier

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