France – Lundi 08/07/2019 – Vendredi, l’antenne, qui avait été déposée, mercredi, sur le parking de la jetée, au niveau de la cale de mise à l’eau, a été déployée, sa hauteur maximale est de 30 m.

 

Ce matériel permet de réaliser les études en mer de couverture radio qui ont été commandées par la société EOHF (Éolienne offshore des hautes falaises) à la société britannique Vissim Renewables qui a changé de nom pour Nesspoint depuis début juillet. Le but est de qualifier les différentes technologies requises pour assurer la couverture radio nécessaire avec le site d’éoliennes en mer de Courseulles, pendant les phases de construction et d’exploitation.

 

« Je dois évaluer différents sites éoliens, celui de Courseulles est le troisième après Fécamp et Saint-Nazaire, explique Trond Thorman, qui menait les études sur place. J’étudie la qualité des communications de Ouistreham au site de Courseulles, pour cela nous avons le bateau VDC lynx (catamaran de travaux éoliens) qui est au large de Courseulles avec lequel je communique. Les études devraient se terminer cet après-midi. »

 

Points de repère

 


18/01/2019 –  EDF EN prévoit toujours si l’horizon s’éclaircit une mise en service en 2022. Mais, par arrêté du ministre d’Etat, ministre de la transition écologique et solidaire, en date du 17 décembre 2018, et à la demande de la société Eoliennes Offshore des Hautes Falaises SAS trois arrêtés, sont parus au 
Journal officiel du 17 janvier, afin de prolonger le délai pour la mise en service des parcs éoliens en mer de Saint-Nazaire, Fécamp et Courseulles-sur-Mer de trois ans.


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