France – Lundi 16/01/2017 – Le courtier d’assurance Bessé, spécialisé en risques d’entreprises, apportera ses conseils en assurance dans le cadre de Floatgen, programme expérimental dédié aux éoliennes flottantes.

Bessé qui est de plus en plus présent dans les salons et conférences dédiés aux EMR tels que FOWT, Seanergy ou les Assises de l’économie maritime fait sa place au sein d‘une filière en plein développement mais aussi avec un manque de visibilité de la part de l’Etat qui met en place avec « une certaine lenteur » la planification des futurs appels d’offre et surtout n’a pas encore été en mesure de rendre les recours moins contraignants.

Son expérience dans le maritime, Bessé assure par STX qui réalise l’Oasis 3 dont la valeur d’assurance se situe entre €1,1 et €1,2 Mds est un élément fort pour entrer et comprendre cette jeune filière.

 

Nos équipes […] ont analysé la nature des risques potentiels pour chaque phase : construction, installation, démonstration et démontage », indique Bessé par communiqué.

 

Le groupe accompagne des projets comme le site GE Belwind où est installée en essais Haliade150, les hydroliennes Sabella et OpenHydro ou Idéol pour les éoliennes flottantes. Il est entouré d’une équipe d’ingénieurs spécialisés employés par sa filiale Sofimar ce qui lui permet de définir, avec ses clients, les modalités de couverture de ces tous nouveaux équipements et trouver les assurances (assureurs) capables de couvrir ces risques, qui n’ont, jusqu’ici, pas de précédent.

 

Basé à Nantes, Paris et Londres, l’originalité de Bessé « dixit » son site, est de disposer d’une équipe d’ingénieurs exclusivement dédiée au service de ses clients au sein de Sofimar. C’est une structure composée d’ingénieurs issus du secteur maritime et du milieu industriel, qui apporte à Bessé une analyse technique des projets de ses clients en permettant une évaluation réaliste des risques.

 

Points de repère

« Dans ces entreprises où la sécurité est une priorité, les accidents sont rares mais peuvent s’avérer coûteux pour les assureurs. Cette sinistralité d’intensité liée aux coûts de construction des navires de plus en plus importants en fait un secteur où seuls quelques spécialistes s’aventurent. Les chantiers font généralement appel à des courtiers, peu nombreux, comme le cabinet nantais Bessé, ou encore Marsh France (Paris), Filhet-Allard (Bordeaux) et Guian (Le Havre).

Leur tâche est complexe. Compte tenu des sommes en jeu, ils doivent opter pour des montages en coassurance. Tous les acteurs du monde assurantiel maritime n’y vont effectivement pas. Au total, sur la catégorie des risques de construction de navires, l’encaissement de tous les assureurs du marché français, tous chantiers confondus n’excéderait pas 50 M€.

13/01/2017 – 

 

Le portail energiesdelamer.eu est partenaire média de FOWT et Seanergy


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