Saint-Nazaire – Mercredi 05/12/2018 – energiesdelamer.eu. EDF EN avait annoncé à l’occasion de l’inauguration de la sous-station ARKONA en mars 2018, être entré en discussion exclusive pour trois sous-stations électriques de 500 MW chacune, destinées aux parcs éoliens en mer de Courseulles sur Mer, Fécamp et Saint-Nazaire. Le « bébé commande » se fait attendre.

Le temps d’une gestation normale, pour accoucher ! Mais, les Chantiers de l’Atlantique, DEME et General Electric, sont toujours en attente d’une décision et impatients de voir arriver les triplées.

Conçues par la branche énergies marines renouvelables des Chantiers, (Atlantique Offshore Energy), ces structures devront convertir les 1500 MW d’électricité, produits par 150 éoliennes offshore, réparties sur les trois parcs éoliens en mer où seront implantées les sous-stations.

« Nous sommes fiers d’être des acteurs de premier plan de la transition énergétique européenne. Nous souhaitons maintenant jouer un rôle important en France et continuer nos efforts à l’export, où nous avons déjà enregistré un volume de commandes représentant plus de 200 millions d’euros, a déclaré Frédéric Grizaud, directeur d’Atlantique Offshore Energy.

Outre la sous-station construite pour le champ éolien allemand Arkona en mer Baltique, les Chantiers de l’Atlantique ont réalisé les études, la construction et l’installation des structures des parcs de Westermost Rough pour Dong Energy (en 2014) et de Rentel (en 2018).

Points de repère

Photo EDM prise à Saint Nazaire, lors de l’inauguration de la sous-station RENTEL qui s’était déroulée un peu plus d’un mois après celle de la sous-station d’ARKONA.

02/03/2018 – EDF EN entre en discussion exclusive pour trois sous-stations électriques en mer « Tant que ce n’est pas signé, rien n’est fait » avait déclaré Olivier de la Laurencie hors « micro ».


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